Martin s’incruste donc dans cette petite famille qui l’accueille avec la naïveté de ceux qui ne peuvent imaginer l’imaginable, jusqu’à ce que le fils, puis la fille, deviennent soudainement paralysés des jambes. Martin explique dans un monologue purement inattendu qu’il a fait s’abattre une malédiction sur la famille de Steven. Pour venger son père mort et donc pour appliquer la loi du Talion. Si le médecin ne veut pas voir toute sa famille décimée par cette paralysie puis une hémorragie des yeux et enfin la mort, il doit sacrifier un membre de sa famille tout comme il aurait tué le père de Martin, un peu pompette qu’il était au moment d’enfiler les gants chirurgicaux.

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Nul doute que des messages subliminaux et très lourds de symboliques se cachent derrière ce scénario ubuesque qui, selon d’aucuns, emprunterait à la tragédie grecque. Pour ne pas vous influencer, libre à vous d’interpréter ce film sans que l’on vous donne notre propre idée de ce qui se cache derrière cette histoire peu anodine. Sachez, pour l’anecdote, que Farrell est irlandais, détail d’importance, somme toute…