Le Chardonneret, c'est 2h30 de manipulation d'images entre l'instant présent et le passé de Théo dont l'interprétation d'Ansel Elgort est impeccable. L'acteur ravira une fois de plus ses fans, même dans un long métrage qui semble divisé les critiques.

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John Crowley s'est rendu la tâche compliquée en montant son film entrecoupé de flashbacks incessants. Mais ne pas le faire ainsi n’aurait sûrement pas eu le même rendu, que ce soit dans sa construction, évidemment, mais surtout pour la compréhension de son intrigue. 

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L'histoire commence par un drame avec la perte d'une mère, une explosion dans un musée et un élément important, un tableau.

La recette est simple, et pourtant, l'intrigue prendra place au fur et à mesure pour nous embarquer jusqu’à son dénouement, tout en racontant l'histoire de Théo, de sa reconstruction, suite à la tragique disparition de sa mère.

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Attention, si vous lâchez prise, vous serez complètement largué par l'histoire. 

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Un beau film, émouvant, malgré les quelques longueurs...

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Deandra Léon

14/20