Seulement, voilà ! Pour ma part, Rupert Wyatt, ne fait qu'effleurer les codes du genre thriller, horreur, et pour ce qui est de la S-F, j'en attendais beaucoup plus et en mieux.

J'ai eu comme une impression de déjà-vu, ou plutôt, je dirais qu'on a tendance à vouloir le comparer aux plus connues, La Guerre des Mondes ou World Invasion : Battle Los Angeles, et Independance Day en tête.

La seule seul différence, c'est que Rupert Wyatt a usé de créativité et de sobriété pour répondre à un budget sans nul doute à maîtriser. 

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En effet, sans spoiler quoi que ce soit, Captive State, manque un peu d'action, de sensationnel et de quelques séquences plus soutenues en terme de rythme, mais cela ne lui enlève en rien une certaine classe dans la mise en scène où règne un suspens haletant.

Quant à l'intrigue, elle est ce qu'elle est, chacun jugera de son efficacité. Le scénario est relativement bien écrit, mais laissait présager une toute autre tournure, plus intense, surtout après ce début en ébullition. 

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Le fait, d'avoir un résumé de quelques minutes, sur les dix années d'occupations de nos chers extraterrestres, me semble très léger (ce n'est que mon humble avis)...

On finit par en comprendre la raison principale, il fallait une introduction à ce qui a provoqué la création de la résistance et de ce qui va être le sujet et l'intrigue de Captive State.

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Hormis un duo d'acteur omniprésent, Ashton Sanders (Moonlight) et John Goodman (Kong skull Island), au ton juste et portant ce long métrage avec beaucoup de prestance, le montage, ne suffira pas à contrecarrer la mollesse de cette histoire plutôt banale.